LE COACHING SELON L'ICF (Fédération Internationale des Coachs):
Le coaching professionnel se définit comme une relation suivie dans une période définie qui permet au client d’obtenir des résultats concrets et mesurables dans sa vie professionnelle et personnelle. A travers le processus de coaching, le client approfondit ses connaissances et améliore ses performances.
Le coaching peut se pratiquer en séances de face-à-face, au téléphone ou en séances collectives, voire dans un lieu spécifique (Coaching sportif). Ces séances peuvent être assorties d'échanges écrits par courrier ou par e-mail.
Le coaching peut être utilisé parallèlement à un travail de psychothérapie mais il ne saurait s’y substituer.
Les objectifs du coaching individuel
Donner à son entreprise une orientation pertinente, choisir ses alliés et définir les structures ad hoc.
Mettre en place une délégation réussie qui permette de se concentrer sur les missions fondamentales.
Animer son équipe avec le maximum d'efficacité et d'enthousiasme.
Concilier ses obligations professionnelles et personnelles.
Exercer ses responsabilités avec plus d'efficacité.
Faire face à des évolutions plus ou moins importantes de son environnement.
Rétablir une situation managériale difficile.
Réorienter sa carrière.
Identifier ses enjeux et être performant plus rapidement dans sa prise en main d’un nouveau poste.
La philosophie du coaching pour l’ICF
Selon l’ICF, le coaching professionnel est une forme d’accompagnement dans laquelle le client est considéré comme l’expert de sa propre vie professionnelle et/ou personnelle.
Bibliographie

CORPS de VIBRATION, CORPS de SILENCE - Eric BARET - YOGA
Le shivaïsme tantrique cachemirien propose une extraordinaire approche du corps et du souffle. Tout n’y est que transparence, légèreté et liberté. Bien loin du volontarisme corporel appelé en Occident « yoga », les âsanas et les prânâyâmas deviennent créativité, vacuité la plus concrète. Ni exotisme ni distraction, la force de cette vision se révèle sans limite : tous ]les aspects de notre existence en sont irradiés. De l’approche de la beauté à la sexualité, de l’alimentation à l’exploration du corps subtil, cette tradition de lumière dévoile, pour la première fois en français, l’essence d’un art longtemps réservé à l’enseignement oral, rahasya-sampradâya.
A l’écoute de l’enseignement de Jean Klein depuis les années soixante-dix, Eric Baret partage son exploration dans des recueils d’entretiens et des rencontres informelles.
L'histoire du RAKU en résumé
L'origine du RAKU se trouve dans la cérémonie du thé au Japon. Elle est liée à la culture séculaire du ZEN, philosophie et idéologie orientales du XVIème siècle. A cette époque, la technique était surtout employée pour la fabrication des bols à thé. On sortait ces bols du four brûlant, après leur refroidissement on les utilisait pour la cérémonie. Le thé pénétrait dans les fissures qui s'étaient produites et ainsi il les colorait. Ce sont les Américains, entre autres Paul Soldner qui ont transformé cette technique à partir des années 1960 pour en faire un mode d'expression artistique plus libre. Ils ont été les premiers à déposer les objets brûlants dans la sciure, ce qui leur a permis d'obtenir des effets exceptionnels.
Le mot RAKU signifie: joie, bonheur, spontanéité.